Batailles (17 autres)

Découvrons nos ancêtres qui se sont illustrés

dans d'autres batailles.

Bataille de Stiklestad - 29 juillet 1030 -

 La bataille de Stiklestad (Stiklarstaðir en vieux norrois), l'une des batailles les plus célèbres de l'histoire de Norvège, prit place le 29 juillet 1030. Elle est l'une des étapes du processus de christianisation de la Norvège puisqu'elle oppose le sud chrétien, mené par Olaf II de NORVÈGE° au nord païen.

Ancêtres présents à la bataille de Stiklestad :

Bataille d'Alnwick - 13 novembre 1093 -

 La bataille d'Alnwick oppose le royaume d'Écosse et le royaume d'Angleterre le 13 novembre 1093.

Depuis la conquête normande de l'Angleterre entamée en 1066, la Northumbrie échappe au contrôle de Guillaume de NORMANDIE, le Conquérant°. Les nobles anglo-saxons fidèles à Harold GODWINSON mènent jusqu'en 1071 une guérilla contre les troupes du Conquérant. Ce dernier se méfie de l'Écosse, qui a accueilli de nombreux Anglo-Saxons exilés. En 1072, il envahit l'Écosse et force le roi Malcolm III d’ÉCOSSE° à le reconnaître comme son suzerain.

 

 À sa mort en 1087, son fils Guillaume II de NORMANDIE° le Roux doit faire face à des troubles en Normandie. Le roi Malcolm III d’ÉCOSSE° en profite pour envahir la Northumbrie et assiéger Durham en mai 1091. Guillaume° rassemble une grande armée et envahit l'Écosse. Une trêve est établie. Cette invasion inquiète Guillaume de NORMANDIE° le Roux qui décide de placer à la frontière des barons qui lui sont loyaux.

 

 La reine Marguerite d'ANGLETERRE° épouse de Malcolm d'ÉCOSSE°, meurt subitement le 16 novembre. Donald°, le frère cadet de Malcolm°, en profite pour usurper le trône au détriment du fils aîné de Malcolm°, Duncan°. Cette situation plonge l'Écosse dans un climat de guerre civile jusqu'en 1097, date à laquelle Donald est renversé.

 

 Sans véritable ennemi face à lui, Guillaume de NORMANDIE° dit le Roux n'accorde plus son attention à l'Écosse et poursuit ses querelles avec son frère Robert de NORMANDIE° dit COURTEHEUSE.

Ancêtres présents à la bataille d'Alnwinck :

Bataille Dorylée (1ère) - 1097 -

 La bataille de Dorylée est une bataille livrée le 1er juillet 1097 qui oppose les combattants de la première croisade aux forces du sultanat de Roum. Elle s’achève par la victoire des croisés et la déroute des Seldjoukides.

 

 Dans la poursuite, les croisés s'emparent du camp des Turco-Arabes. Leur butin se compose d'une grande quantité de vivres, de tentes magnifiquement ornées, toutes sortes de bêtes de somme et, surtout, d'un grand nombre de chameaux

 

 Après cette défaite, Kılıç ARSLAN ne peut s’opposer militairement à la progression des croisés et fait le vide devant eux, leur coupant toute possibilité de ravitaillement en route, mais ne réussit pas à les empêcher d’atteindre la Cilicie, où les Arméniens chrétiens accueilleront les croisés, puis Antioche. Profitant de la débâcle seldjoukide, l’empereur byzantin Alexis COMNENE° envoie son beau-frère Jean DOUKAS reconquérir l’Ionie, la Lydie et la Phrygie, permettant à Byzance de reprendre une partie des territoires perdus à la suite de la bataille de Manzikert.

 

 Enfin cette bataille, premier engagement réel entre les Francs et les Turcs, annonce les prémices d’un changement des rapports de force au Proche-Orient. La tactique des Turcs consiste à utiliser des archers à cheval pour harceler l'armée adverse et se retirer lors de la charge. Cette tactique, qui avait fait le succès des Seldjoukides face aux armées syriennes, byzantines et arméniennes durant le siècle précédent, est totalement inefficace contre les Francs, les flèches turques se révélant sans effet sur les lourdes armures des croisés

Ancêtres présents à la 1ère bataille de Dorylée :

Bataille d'Ascalon - 12 août 1099 -

 La bataille d'Ascalon fut menée par l'armée croisée commandée par Godefroy de BOUILLON°, le 12 août 1099. Elle peut être considérée comme le dernier événement de la première croisade.

Ancêtres présents à la bataille d'Ascalon :

Bataille de Grimbergen - 1141-1159 -

 La guerre de Grimbergen désigne un ensemble d'hostilités entre les ducs de BASSE-LOTHARINGIE et les seigneurs de GRIMBERGEN° qui démarre aux alentours de 1141. Elle se conclut en 1159 par la destruction de la forteresse des seigneurs de GRIMBERGEN° et leur soumission au duc Godefroid III de LOUVAIN° dit le Courageux.

 

 À la suite du conflit, le bastion de la famille BERTHOUT°, située à Borgtberg, est détruit et les seigneurs de GRIMBERGEN° établissent leur résidence à Boksem, où ils érigent un nouveau château. Ils deviennent ensuite de fidèles vassaux des ducs de BRABANT°.

Ancêtres présents à la bataille de Grimbergen :

Bataille de Dorylée (2è) - 25 octobre 1147 -

 La seconde bataille de Dorylée eut lieu à Dorylée le 25 octobre 1147 pendant la deuxième croisade. Conrad III de HOHENSTAUFEN°, manquant de provisions, stoppa afin de permettre à ses troupes de se reposer. Celles-ci furent quasiment réduites à néant par une attaque des turcs seljoukides.

 

 Par conséquent, les croisés allemands se retrouvèrent incapables de poursuivre leur croisade et Conrad° rejoint les forces de Louis VII de FRANCE° avec les 2 000 hommes qui lui restait.

Ancêtres présents à la 2è bataille de Dorylée :

Bataille de Carnières - 1170 -

 Baudouin IV, comte de Hainaut° de 1120 à 1171 (1099 – 1171) mène vainement la guerre contre Thierry de LORRAINE° dit d’ALSACE, comte de FLANDRE. Il est aux côtés de Godefroid III, duc de BRABANT°, lors de sa défaite contre Henri de LUXEMBOURG°, comte de NAMUR, dit l’Aveugle, en 1170, à la bataille de Carnières (à l’ouest de Charleroi, sur la Haine).

 

Victoire d’Henri de LUXEMBOURG°, comte de NAMUR, dit l’Aveugle, sur Godefrod III°, duc de BRABANT, et Baudoin IV°, comte de HAINAUT, en 1170.

Ancêtres présents à la bataille de Carnières :

Bataille de Steppe - 13 octobre 1213 -

Bataille de Steppes (Montenaken) oppose le duché de BRABANT à la Principauté de LIEGE, ils entrent en conflit pour le contrôle du comté de MOHA. Louis II de LOOZ° et Henri Ier de BRABANT° étaient tous deux parents du dernier comte Albert II de MOHA.
Depuis la mise à sac de la Cité par les troupes de Henri Ier de BRABANT° en 1212, les Liégeois aspirent à la revanche. Avec le soutien actif des milices populaires liégeoises, les troupes du prince-évêque mettent en déroute les armées de son rival. Dans les plaines de Steppes, près de Montenaken, le succès liégeois est total le 13 octobre 1213. Emportés par leur victoire, les Liégeois déferlent sur Tirlemont, Léau, Landen et Hannut, avant de s’arrêter aux portes de Louvain. Contraints et forcés, les Brabançons se réconcilient avec le vainqueur, obtiennent de l’empereur une partie de Maastricht en fief, mais ne renoncent pas à leur projet. L’empereur, quant à lui, renonce à intervenir dans l’élection du prince-évêque. Quant au peuple liégeois, il a pris conscience de sa force vis-à-vis du prince-évêque Hugues de PIERREPONT.
Les Liégeois apportèrent sur le champ de bataille une statue de la VIERGE de l'église de Montenaken. Une fois sur place, elle reflète les rayons du soleil qui sont si intenses que les adversaires sont aveuglés et abandonnent leurs armes.

 

Une chapelle en l'honneur de Notre-Dame-de-Steps a été érigée la même année sur le champ de bataille. Cette chapelle en style néogothique s'y trouve encore aujourd'hui. Chaque année au mois de mai, pour célébrer ce miracle, la statue est transportée de l'église de Montenaken à la chapelle de Notre-Dame-de-Steps.

Ancêtres présents à la bataille de Steppe :

Bataille de Toulouse - 1217-1218 -

La grande bataille de Toulouse débute le matin du 24 juin et s'achève le matin du 25 juin 1218. Cet assaut mené par Simon IV de MONTFORT° à l'encontre de la ville de Toulouse qui s'était révoltée contre lui, se solde par une victoire décisive des troupes méridionales sur l'armée croisée et par la mort du chef des croisés, Simon IV de MONTFORT°. La mort de son chef charismatique et incontesté conduit l'armée Croisée à lever le siège un mois plus tard, le 25 juillet.

Ancêtres présents à la bataille de Toulouse :

Bataille de Bulscamp - 6 avril 1362 -

 La bataille de Furnes, aussi appelée bataille de Bulscamp, oppose les troupes françaises aux troupes flamandes le 20 août 1297. Les Français, conduits par Robert II d'ARTOIS°, en ressortirent victorieux. Toutefois, son fils Philippe d'ARTOIS° est grièvement blessé et succombe à ses blessures un an plus tard.

Ancêtres présents à la bataille de Bulscamp :

Bataille de Cassel - 23 août 1328 -

 La bataille de Cassel s'est déroulée le 23 août 1328 à proximité de la ville de Cassel dans le nord de la France entre l'armée de Philippe VI de VALOIS°, roi de France et les milices flamandes menées par Nicolaas ZANNEKIN, propriétaire foncier de Lampernisse dans la châtellenie de Furnes (Belgique actuelle).

 

 Philippe VI de VALOIS°, roi de France (1328-1350), après son sacre à Reims, dans le but de tenter de consolider son autorité, décide de partir en guerre contre les Flamands révoltés (originaires de Bruges ou des châtellenies du Franc de Bruges, de Furnes, de Cassel, de Bailleul et de Bergues), insurgés contre leur seigneur, le comte de Flandre Louis de NEVERS°.

 

 Les Flamands, qui vivent dans le souvenir de la bataille des Éperons d'Or supportent mal le maintien archaïque des droits seigneuriaux exercés par les chevaliers flamands, pour la plupart ralliés au roi de FRANCE°, à l'exemple du comte de Flandre Louis de NEVERS°.

 

 Les barons de France qui ont offert à Philippe VI de VALOIS°  la couronne se montrent réticents à se lancer dans cette aventure.

 

 L'armée royale incendie Cassel. Ypres se soumet et Bruges suit. Louis de NEVERS° reprend le contrôle du comté dans le sang des exécutions capitales et Philippe VI de VALOIS° en retire tout le prestige d'un roi chevalier.

 

 L'ensemble des biens des combattants flamands, aussi bien ceux tués que ceux qui survivent, sont ensuite confisqués par des envoyés du roi (Jean des PRÈS, Regnaut de FIEFFES, chanoine d'Amiens, Gautier de CAVAUCAMP et Vaast de VILLERS) afin de punir leur crime de lèse-majesté. Un tiers des biens confisqués devaient revenir au comte de FLANDRE, Louis de NEVERS° et à Robert de CASSEL.

Ancêtres présents à la bataille de Cassel :

Bataille de Saint-Omer - 26 juillet 1340 -

La bataille de Saint-Omer est une action de grande envergure ayant eu lieu le 26 juillet 1340 et faisant partie de la chevauchée d'Édouard III d'ANGLETERRE contre la FRANCE au début de la guerre de Cent Ans. C'est la première bataille terrestre de la Guerre de Cent Ans.

 

Ayant échoué à s'emparer de la ville et à vaincre les Français sur le champ de bataille, il sait qu'il doit abandonner sa campagne avant que l'armée de Philippe VI de VALOIS° ne lui coupe la retraite vers la Flandre. Abandonnant tout ce qui n'est pas aisément transportable, Robert d'ARTOIS rejoint l'armée d'Édouard III en prétendant avoir remporté une victoire partielle. Il laisse derrière lui près de 8 000 Flamands tués, en majorité des troupes qui faisaient partie de la réserve, soit beaucoup plus que les Français dont les pertes sont assez faibles.

Ancêtres présents à la bataille de Saint-Omer :

Bataille de Crécy - 26 août 1346 -

La bataille de Crécy oppose à partir du milieu de l'après-midi du 26 août 1346 l'armée du royaume de France à une armée venue d'Angleterre pour saccager et piller les terres proches des rivages de la Manche. Cette bataille marqua le début de la guerre de Cent Ans. L'armée française de Philippe VI de VALOIS° subit une défaite face aux troupes d'Édouard III, roi d'ANGLETERRE°, le 26 août 1346.

 

Cette bataille où les monarques respectifs, Philippe VI de VALOIS° et Édouard III PLANTAGNÊT°, sont présents et actifs, se conclut dans la nuit par une victoire écrasante de l’armée anglaise le 26 août 1346, pourtant en infériorité numérique, sur la chevalerie et l'infanterie françaises et ses alliés, qui accusent des pertes très importantes du fait de l'indiscipline et des lacunes du commandement. Cette date marque le début de la guerre de Cent ans.

 

Édouard III° a désormais les mains libres pour remonter vers Calais, et assiéger la ville. Le long siège de Calais ouvre véritablement la guerre de Cent Ans, une guerre longue où le vainqueur du moment et du lieu s'appuie sur un réseau de villes places-fortes en extension et un pillage dévastateur des campagnes.

Ancêtres présents à la bataille de Crécy :

Bataille de Poitiers - 19 septembre 1356 -

 La bataille de Poitiers est livrée au cours de la guerre de Cent Ans le 19 septembre 1356 à Nouaillé-Maupertuis, près de Poitiers en Aquitaine.

Le roi de France Jean II de VALOIS°, dit le Bon cherche à intercepter l'armée anglaise conduite par Édouard de WOODSTOCK, prince de GALLES, qui est en train de mener une chevauchée dévastatrice. Par une tactique irréfléchie, Jean II de VALOIS°, dit le Bon, conduit ses troupes, quoique numériquement très supérieures, au désastre et se fait prendre, ainsi que son fils Philippe II de BOURGOGNE° et de nombreux membres éminents de la chevalerie française.

 

Les conséquences de la défaite française sont catastrophiques pour la couronne des VALOIS. Le pays est nominalement dirigé par l'héritier du trône, le dauphin Charles V de VALOIS°, dit le Sage. Celui-ci doit affronter la Grande Jacquerie en 1358, qui conteste les privilèges de la noblesse, celle-ci ayant perdu de son prestige à Poitiers. La première phase de la guerre de Cent Ans s'achève par une indéniable victoire anglaise, qui est confirmée par la signature du traité de Brétigny en 1360.

Ancêtres présents à la bataille de Poitiers :

Bataille de Cocherel -

Le 16 mai 1364 a lieu la bataille de Cocherel entre Charles V de VALOIS°, dit le Sage, dont l'armée est commandée par Bertrand du GUESCLIN°, et Charles II de NAVARRE°, dit le Mauvais, dont les troupes sont alliées aux Anglais. La victoire française rétablit l'autorité royale et permet le sacre de Charles V° dans la cathédrale de Reims le 19 mai.

 

La perte des capitaines John JOUEL et Jean de GRAILLY est une véritable catastrophe pour les Anglo-Navarrais.

 

Charles II de NAVARRE°, dit le Mauvais signe en 1365, le traité de Pampelune avec le roi Charles V de VALOIS°, dit le Sage, dans lequel il renonce à ses prétentions au trône de France. En mars 1365, au traité d’Avignon, les deux Charles s'accordent sur un échange. Le roi Charles II de NAVARRE° cède au roi de FRANCE ses possessions normandes de la basse vallée de la Seine que sont Mantes, Meulan et le comté de Longueville, places stratégiques sur la route de Paris. En échange, Charles V de VALOIS°, dit le Sage abandonne à son cousin la ville et la seigneurie de Montpellier.

Ancêtres présents à la bataille de Cocherel :

Bataille de Roceval -

En construction

Ancêtres présents à la bataille de Roceval :

Bataille du Sarno - 7 juillet 1460 -

 La bataille du Sarno (7 juillet 1460), également connue sous le nom de Bataille de Nola, est une défaite décisive des forces de Ferdinand, roi de NAPLES°, par ses barons mécontents soutenant la revendication de Jean d'ANJOU°, duc de LORRAINE. Il a combattu dans la plaine à l'embouchure de la rivière Sarno en Campanie, au sud du mont Vésuve. Les forces de Jean d'ANJOU° sont renforcées par des renforts de Jacopo PICCININO, qui, le 27, ont vaincu les forces papales et milanaises sous Alessandro SFORZA et Federigo d'URBINO près de San Fabiano.

 

Ferdinand, roi de NAPLES° s'échappe avec seulement vingt hommes, mais, avec l'aide du pape Pie II, du duc de MILAN, le seigneur albanais SKANDERBEG, et Jean II, roi d'ARAGON, est finalement capable de vaincre Jean d'ANJOU, duc de LORRAINE° à Troia le 18 août 1462 et au large d'Ischia en 1465.

Ancêtres présents à la bataille du Sarno